Une Grosse Nouille Nommee Benoit Ep 02 : Une Super Soiree
UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOIT
EP 02 : UNE SUPER SOIREE
On se retrouvait donc devant un thé
Comme apéritif j'ai connu mieux mais bon
En face de moi il y avait Étienne, le copain d'Hélène
Il était beau Étienne, brun et bronzé, les cheveux courts légèrement ondulants, une barbe très courte avec les joues bien dégagées, les yeux marron dans lesquels on pouvait voir passer
Bon je laisse tomber la dernière fois j'ai dit n'importe quoi ! C'est vrai quoi je ne sais pas ce qui rime avec marron et qui fait viril moi !
Il était viril Étienne, en tout cas il en avait l'air, avec une superbe chemise de cow-boy son jeans très classe parfaitement ajusté et le tout de marque
C'était quoi comme marque au fait ?
Prizunic !
Beuh, bof
Mais bon lui il était craquant, il s'habillait comme un clodo mais bon il était craquant quand même
Et puis ces fringues de chiotte il suffirait de les lui enlever
Éh, éh, éh
Je l'imaginait sur son tracteur. Ça fait viril ça un tracteur ? C'est mieux que des yeux de biches pour un mec ! La discussion allait bon train, le thé était fade, si j'avais pas braillé un peu j'aurai même pas eu de sucre
Encore cette histoire de régime BIO
Mais c'est quoi cette marque de péquenauds ? Finalement c'est pas le thé qui était fade, j'avais mis quatre sucres, c'était l'apéro
Il n'y avait rien à boire ! Même pas une petite goûte de Vodka, de Gin, Whisky
Pfffff
C'est pas une manière de vivre ça. On aurait pu aller faire des courses mais dans ces coins paumés tout est fermé passé vingt heure et en plus le magasin le plus proche est à vingt kilomètres au moins ! On n'a pas idée de venir s'installer dans un endroit pareil ! Il faut être à moitié barge pour avoir de telles pensées !
Après le repas on traînait un peu autour de la piscine, je prévoyais de faire quelques plongeons, vous savez que je nage comme un dauphin
Moi c'est simple dès que je vois une étendue d'eau libre et sauvage, comme une piscine par exemple, rien ne peut me retenir.
Étienne : Et tu fais quoi dans la vie toi Benoît ?
Moi : Bein euh
Je
Nadine : Il glande
Hélène : Il se branle !
Moi : Mééééé
!
Étienne : Non je voulais dire comme travaille
Hélène : Il glande !
Nadine : Il vit de ses rentes
Étienne : C'est vrai ça ? Tu ne bosses pas ?
Moi : Bein
C'est que
Nadine : Non il ne bosse pas !
Hélène : Il glande !
Moi : Mais c'est fini ça les filles
Le moi dernier par exemple, j'ai été très occupé
Nadine : C'est vrai que c'était les soldes !
Tout le monde éclatait de rire
Sauf moi
Je faisais la moue
Pfff
Elles m'embêtent !
Il était bien foutu ce Étienne ! Je le regardais quand il retirait sa chemise de cow-boy super classe, belle musculature, belles proportions
Il était bronzé, je l'imaginait en train de conduire son tracteur, torse nue, les cheveux dans le vent, un chapeau sur la tête façon Indiana Jones, un petite chaîne en or autour du cou. Je me disais que finalement la vie à la campagne, ça a du bon !
Rapidement mon imagination m'entraînait, j'étais assis sur le capot de son tracteur, je le regardait conduire au travers des champs, un gros bazar ( je sais pas comment ça s'appelle ces trucs là moi ) ramassais les choux qui retombaient dans la benne qui nous suivait. Il me souriait, un éclat de lumière sur ses dents blanches, un sourire à tomber, je lui tendais un verre de champagne
Euhhh , d'un coup je suis pas sûr là pour le champagne
Mais bon c'est pas grave !
Étienne arrêtait son tracteur et en descendait, je contemplait longuement ses épaules, son dos musclé et bronzé, et son cul. Son pantalon lui faisait un cul je ne vous dis pas. C'est ça de choisir une grande marque ! Ses soulier cirés lui donnaient une élégance de gentlemen cow-boy ! Je sautais avec légèreté sur le sol et retombais avec élégance
Hop !
On se regardait, il me souriait et de la tête me faisait signe de le suivre.
Je m'approchais de lui, sa peau était chaude et sentait bon le soleil, une peau douce et brune, légèrement poilue d'une toison très douce. Je lui caressais doucement le torse, je m'attardais sur ses tétons, je les embrassais, les suçais il penchait la tête en arrière en gémissant de plaisir, il me caressais les cheveux. Mes doigts se promenaient sur son ventre, il était bien musclé, ça muscle la conduite du tracteur
Je sentais ma queue qui commençait à se manifester.
Il me repoussait en arrière, je me laissais faire et me retrouvais allongé sur le dos, il se penchait sur moi à son tour et je devinais la douceur des ses lèvres, la fermeté de son corps, sa force. Je sentais quelque chose de dur en haut de sa cuisse et c'était pas son téléphone
Je retirais ma chemise.
On s'agrippait l'un à l'autre, il me tenait serré contre lui, je le retenais, il faisait chaud et il était brûlant de cette brûlure qui fait qu'on en redemande tant elle est douce et agréable
La chaleur humaine ne brûle pas vraiment. Je le retournais et c'est moi qui était sur lui maintenant. Son corps était musclé de partout et ses fesses étaient fermes et rondes. Je commençais à baver d'envie. Je m'imaginais déjà en train de le sucer, il semblait prometteur, il avait une grosse bite c'est sûr. C'est mieux quand on se fait enculer ça, une grosse bite !
Il se relevait juste devant moi, et je voyais ouvrir son pantalon, il bougeait au ralenti. Il avait dégrafé son ceinturon, quand je dis qu'il ressemble à un cow-boy, il ouvrait le premier bouton de son jeans, les autres suivaient sans résister, il portait déjà un maillot de bain et dévoilait ses jambes, je n'avais pas encore vu ses jambes.
Il me regardait, devinait-il mes pensées à ce moment précis, il posait son pantalon juste à côté de lui, il plongeait et m'arrosait, j'étais trempé
Il l'avait fait exprès l'andouille
Au moins je retrouvais mes esprits ! J'allais passer moi aussi un maillot de bain et plongeais à mon tour dans la piscine ou les deux filles l'avaient rejoint.
La soirée avançait, j'avais donc bien un peu rêvé sur le physique et le corps superbe dÉtienne, mais bon
C'est le petit copain d'une grande copine de ma petite sur
Alors ! Je préférais me retenir
Ma sur est un peu chatouilleuse sur le sujet
Tout ça depuis que je lui avais piqué son copain quand on était à la petite école
C'était il y a des années et elle y pense encore. Elle m'a dit que si jamais je recommençais elle me ferait subir
Non je veux pas vous le dire, rien que d'y penser ça fait trop peur, et pourtant je suis courageux !
Je me rappelais brusquement que je n'avais pas vidé mon coffre.
Moi : Les filles ! J'ai laissé mon bagage dans mon coffre, il faut que j'aille le chercher ! Quelqu'un peut venir m'aide ?
Les deux filles se regardaient incrédules
Nadine : Non j'y crois pas ! ( puis me regardant ) Ne me dis pas que
Moi : Je te jure que cette fois ci j'ai voyagé léger
Étienne : Si tu veux mais tu as
Une valise ?
Moi : J'ai presque rien, je ne suis là que pour un mois
Étienne enfilait rapidement un T-shirt, on était en maillot de bain. Il fallait bien, à cause des filles, entre mec on aurait été en maillot de bain mais sans maillot de bain
éh, éh, éh
Je ne sais pas si je suis clair là ? Bref ! Il me regardait, je passais un pantalon, une chemise que je refermais avec élégance
Étienne : On va juste chercher une ou deux valises
Moi : Oui mais on va sortir !
Étienne : Ta voiture est juste devant la maison !
Moi : Oui mais elle est dehors !
Il tournait la tête vers les filles
Elles étaient pliées de rire
Nadine : Quelqu'un pourrait vous voir et mon frère aime bien être présentable en toutes circonstances
Je faisais ça vite et passait mes chaussures sans mettre de chaussettes
Nous arrivions à ma voiture, j'ouvrais le coffre et en sortait une valise, puis une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième un peu plus petite que les autres
Étienne : Ah ! Tout de même
C'est pour un mois .
Moi : J'ai pris le stricte minimum
J'ouvrais la portière arrière et en sortait une valise, puis une seconde
Je plongeait dans la voiture.
Étienne : C'est tout ?
Moi : Oui il n'y a presque plus rien
Elle est coincée
Non sans effort, je tirais hors de la voiture une autre valise. Puis une toute petite valise genre bagage à main et enfin une sacoche .
Moi : Voilà ! ( D'un air tout content de moi )
Étienne : Le stricte minimum, je vois, remarque tu avais prévenu !
On faisait plusieurs tours et on déposait les bagages dans l'entrée
Hélène : ( elle criait ) Oué ! C'est moi qui ai gagné ! Nadine tu avais dit huit moi j'avais dit plus
Nadine : La sacoche ne compte pas !
Hélène : La sacoche est un bagage. Ta ta ta
C'est moi qui ai gagné !
Étienne lâchait un grand soupir
Moi : Tu m'as dit Nadine qu'il y avait une boîte sympa pas loin ?
Nadine : Oui mais tu ne vas pas nous quitter ?
Moi : Mais certainement pas, je vais passer toute la soirée avec vous mais je vais me changer parce que aussitôt après je passe y faire un tour
Je partais vers ma chambre avec deux valises
Moi : Et je voudrais pas arriver trop tard !
Je revenais prendre deux autres valises
Moi : Mais en attendant je suis tout à vous !
Étienne s'était laissé tombé sur le canapé et me regardait faire, il avait l'air de ne pas croire ce qu'il voyait
Étienne : Mais il est à peine neuf heures et demie !
Hélène : Et s'il désire y être pour minuit il ne faut pas qu'il traîne.
Nadine : Ne t'inquiète pas, tu va pas tarder à comprendre !
Moi : Mais ne vous inquiétez pas je suis avec vous toute la soirée !
Je m'enfermais alors dans ma chambre et en ressortait vers onze heures et demie !
Entre temps la nuit était tombée, ils s'étaient installés dans le salon et je devinais qu'ils parlaient de moi ! Je m'étais fait tout beau, costume élégant, pantalon bien ajusté, je veux dire par là bien serré mais qui ne gène pas les mouvements, chemise avec les deux boutons du haut ouverts, veste légère ouverte, foulard, petites chaussures souples en daim
J'avais gardé une certaine élégante-négligence-calculée en prenant soin de ne pas mettre de chaussettes
Moi : Vous me trouvez comment ? Là ça va je n'ai pas trop , c'est une boite de péquenauds, c'est peut être pas la peine d'en faire plus
Nadine : Vas y tourne toi
Ahhh ! Mais tu ne vas pas sortir avec cette chemise ?
Moi : Quoi ma chemise ! Quoi ma chemise ! Quoi ma chemise ?
Étienne mettait sa main devant sa figure et je l'entendais.
Étienne : C'est pas vrai ! J'y crois pas !
Moi : C'est ma chemise ? Mais dites !
( avec une angoisse incontrôlable dans voix )
Hélène : Là tu le cherches ! Mais non mon trésor elle est très bien ta chemise !
Nadine éclatait de rire
Hélène : Ne l'écoute pas elle te taquine, c'est tout, tu sais comment elle est
Moi : C'est vrai ? Si tu me voyais comme ça un soir au coin d'une rue tu serais impressionnée, séduite, enfin tu me remarquerais quoi ?
Étienne se retournait et je l'entendais rire, il n'en pouvait plus ! Nadine faisait pareil. J'avais même l'impression que Hélène avait aussi envie de rigoler mais j'étais pas sûr. Pourtant je suis perspicace !
Hélène : Ça c'est sûr je te remarquerais mais j'ai tout ce qu'il me faut à la maison
De toutes façons je n'avais plus le temps pour me changer
Je leur faisait la bise à toutes les trois
Oui je sais !
Puis je les laissais en leur lançant
Moi : Bon les filles je vous laisse, soyez sages ! J'ai vraiment passé une super soirée !
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